UR MNTC

1. Diagnostic différentiel : a) Parasitoses suspectées : b) Parasites responsables : 2. Techniques de diagnostic : a) Frottis sanguin mince : b) Frottis sanguin épais : Différence : 3. Résultats attendus : a) Observation microscopique : b) Anomalies de la NFS : 4. Modes de transmission et cycle parasitaire : a) Modes de transmission : b) Cycle parasitaire (exemple : Plasmodium falciparum) : 5. Mesures de prévention : a) Prévention individuelle : b) Prévention communautaire : Note finale : Ce cas met l’accent sur les compétences analytiques et pratiques nécessaires pour diagnostiquer les parasitoses sanguines, en utilisant les techniques adaptées et en comprenant les bases biologiques et épidémiologiques. Barème total : 20 points.

Sujet : Un patient de 28 ans se présente au centre de santé après un retour d’un voyage dans une région forestière de l’Afrique de l’Ouest. Il décrit les symptômes suivants : L’interrogatoire révèle : Le médecin prescrit une numération formule sanguine (NFS) et une recherche parasitologique dans le sang. Questions : 1. Diagnostic différentiel : a) Quelles parasitoses sanguines suspectez-vous en priorité ?b) Précisez le ou les parasites responsables pour chaque parasitose. 2. Techniques de diagnostic : a) Décrivez les étapes de réalisation d’un frottis sanguin mince et d’un frottis sanguin épais.b) Quelles différences observe-t-on entre le frottis mince et le frottis épais, et quel est leur intérêt dans ce cas ? 3. Résultats attendus : En supposant que le frottis sanguin montre des anomalies compatibles avec une parasitose, indiquez :a) Les éléments caractéristiques observables au microscope pour les parasites suspectés.b) Les valeurs anormales potentielles de la NFS qui pourraient orienter le diagnostic (exemple : taux d’hémoglobine, plaquettes). 4. Modes de transmission et cycle parasitaire : a) Expliquez le mode de transmission des parasites suspectés.b) Décrivez brièvement le cycle parasitaire du parasite le plus probable dans ce cas. 5. Mesures de prévention : En tant que technicien supérieur en analyse biomédicale, quelles recommandations pratiques donneriez-vous à un patient pour prévenir :a) L’infection par les parasites sanguins suspectés ?b) La transmission dans une communauté à risque ? Critères d’évaluation : Durée : 2 heuresBarème total : 20 points

1. Diagnostic différentiel : a) Parasitoses suspectées : b) Parasites responsables : 2. Examen coprologique : a) Étapes de réalisation d’un examen direct des selles : b) Anomalies spécifiques à rechercher : 3. Techniques complémentaires : a) Autres techniques utilisables : b) Intérêt de la méthode de concentration : 4. Modes de contamination : a) Modes de contamination : b) Facteurs environnementaux et comportementaux expliquant le risque : 5. Conseils préventifs : a) Recommandations à la communauté : b) Recommandations au centre de santé : Note finale : Les étudiants doivent démontrer leur compréhension des techniques de laboratoire, leur capacité à analyser les modes de contamination et leurs compétences dans la prévention des parasitoses. Barème total : 20 points.

Sujet : Dans une zone rurale du nord du Bénin, un centre de santé reçoit un patient adulte de 32 ans, agriculteur, qui se présente avec les symptômes suivants : L’interrogatoire révèle : Un examen coprologique est demandé pour confirmer le diagnostic. Questions : 1. Diagnostic différentiel : a) Quelles parasitoses intestinales suspectez-vous en priorité ?b) Pour chaque parasitose, précisez le parasite responsable. 2. Examen coprologique : a) Décrivez les étapes de réalisation d’un examen direct des selles.b) Quelles anomalies spécifiques rechercheriez-vous dans cet examen pour orienter le diagnostic ? 3. Techniques complémentaires : a) Quelles autres techniques parasitologiques pourraient être utilisées pour confirmer l’étiologie de l’infection dans ce cas ?b) Expliquez l’intérêt de la méthode de concentration dans l’identification des parasites intestinaux. 4. Modes de contamination : a) Décrivez les modes de contamination des parasitoses suspectées dans ce cas.b) Quels facteurs environnementaux et comportementaux expliquent le risque accru de parasitoses chez cet agriculteur ? 5. Conseils préventifs : En tant que technicien supérieur en analyse biomédicale, quelles recommandations pratiques donneriez-vous :a) À la communauté pour réduire la prévalence des parasitoses intestinales ?b) Aux responsables du centre de santé pour améliorer la prise en charge des infections parasitaires dans cette zone ? Critères d’évaluation : Durée : 2 heuresBarème total : 20 points

1. Diagnostic différentiel : a) Parasitoses suspectées : b) Parasites associés : 2. Cycle évolutif : Pour l’Amibiase (Entamoeba histolytica) : 3. Examen parasitologique : a) Examens recommandés : b) Méthode de concentration :La méthode de centrifugation ou de flottation est utilisée pour concentrer les parasites présents dans les selles. Cette technique permet de séparer les éléments parasitaires des autres composants, augmentant ainsi la probabilité de détecter les parasites. 4. Interprétation des signes cliniques : a) b) 5. Épidémiologie et prévention : a) Facteurs de risque environnementaux et comportementaux : b) Mesures de prévention : 6. Prise en charge : a) Mesures thérapeutiques et gestion de la déshydratation : b) Traitements antiparasitaires : Note finale : Cette épreuve permet d’évaluer les compétences en parasitologie clinique et en gestion des infections parasitaires dans un contexte rural. La qualité de l’analyse, de la prise en charge thérapeutique, et des recommandations de prévention constitue les éléments principaux de l’évaluation. Total : 20 points.

Etude de Cas clinique complexe en parasitologie Sujet : Un enfant de 6 ans, Kossi, vivant dans une zone rurale du Bénin, est amené à la consultation après 10 jours de symptômes : Questions : 1. Diagnostic différentiel : a) Quelles parasitoses intestinales suspectez-vous dans ce cas ?b) Pour chaque parasitose suspectée, associez le nom du parasite responsable. 2. Cycle évolutif : Pour la parasitose suspectée, décrivez les étapes du cycle évolutif, en mettant l’accent sur les modes de contamination et les stades infectieux. 3. Examen parasitologique : a) Proposez deux examens qui seraient réalisés pour confirmer le diagnostic parasitaire.b) Décrivez brièvement la méthode de concentration utilisée pour le diagnostic parasitologique dans ce cas clinique. 4. Interprétation des signes cliniques : a) Quelles anomalies observées sur l’enfant (pâleur, déshydratation, malnutrition) sont liées à l’infection parasitaire ?b) Comment expliquer les diarrhées glaireuses et les douleurs abdominales dans le contexte d’une infection parasitaire intestinale ? 5. Épidémiologie et prévention : a) Quels sont les facteurs de risque environnementaux et comportementaux qui peuvent expliquer cette infection parasitaire dans la région de résidence de Kossi ?b) Proposez des mesures de prévention et de contrôle adaptées à cette situation. 6. Prise en charge : a) Quelles mesures thérapeutiques et de gestion de la déshydratation sont indiquées pour cet enfant ?b) Indiquez les traitements antiparasitaires recommandés en cas de confirmation du diagnostic. Critères d’évaluation : Durée : 3 heuresBarème total : 20 points

Résultats de l’épreuve : Cas clinique complexe en parasitologie 1. Diagnostic différentiel : a) Parasitoses suspectées : b) Parasites associés : 2. Cycle parasitaire : a) Parasite impliqué dans les symptômes pulmonaires : Ancylostoma duodenale. b) Cycle évolutif : 3. Examens complémentaires : a) Examens recommandés : b) Principe de l’examen macroscopique et microscopique des selles : 4. Hypothèse clinique : a) Parasite en cause : Ancylostoma duodenale. b) Mécanisme physiopathologique expliquant les symptômes thoraciques : 5. Épidémiologie et prévention : a) Facteurs environnementaux favorisant la propagation : b) Stratégies de prévention communautaire : Note finale : Chaque section (diagnostic, cycle parasitaire, examens, hypothèse, prévention) est notée sur 20 points. L’évaluation repose sur la clarté, la précision scientifique et la capacité d’appliquer les concepts dans un contexte pratique.

ÉPREUVE : Cas clinique complexe en parasitologie Sujet : Une femme de 32 ans, agricultrice dans une zone rurale du nord du Bénin, consulte pour des symptômes incluant : Un interrogatoire approfondi montre qu’elle marche souvent pieds nus dans les champs et qu’elle consomme de l’eau de puits non traitée. Questions : 1. Diagnostic différentiel : a) Quelles parasitoses suspectez-vous en priorité ?b) Associez à chaque parasitose un parasite possible. 2. Cycle parasitaire : Pour l’une des parasitoses suspectées liée à la toux et aux douleurs thoraciques :a) Identifiez le parasite impliqué.b) Décrivez les différentes étapes de son cycle évolutif chez l’homme. 3. Examens complémentaires : a) Proposez trois examens permettant de confirmer le diagnostic parasitologique.b) Décrivez brièvement le principe de l’examen macroscopique et microscopique des selles. 4. Hypothèse clinique : Si un examen révèle des œufs ovales, translucides, et segmentés,a) Quel parasite est en cause ?b) Quel mécanisme physiopathologique explique les symptômes thoraciques observés ? 5. Épidémiologie et prévention : a) Identifiez les facteurs environnementaux qui favorisent la propagation de cette parasitose dans la région.b) Proposez trois stratégies de prévention communautaire. Critères d’évaluation : Durée : 3 heuresBarème total : 20 points

Résultats de l’épreuve : Étude approfondie de cas clinique en parasitologie 1. Diagnostic différentiel : a) Trois parasitoses intestinales probables : b) Parasites associés : 2. Interprétation clinique et examen complémentaire : a) Examens biologiques et parasitologiques recommandés : b) Principe de la méthode de Kato-Katz : Intérêt :Cette méthode est particulièrement efficace pour quantifier les œufs de Schistosoma mansoni et diagnostiquer une schistosomiase intestinale. 3. Hypothèse 1 : a) Parasite identifié : Schistosoma mansoni.b) Localisation principale : Les veines mésentériques entourant l’intestin.c) Cycle évolutif : 4. Hypothèse 2 : a) Parasite en cause : Entamoeba histolytica.b) Mécanisme pathologique : 5. Interprétation épidémiologique : a) Facteurs d’exposition liés à la vie près de la rivière : b) Stratégies de lutte collective : Note finale : Chaque section (diagnostic, examens, hypothèses, épidémiologie) est notée sur 20 points. Les étudiants sont évalués sur la précision de leurs réponses et leur capacité à intégrer des concepts théoriques et pratiques.